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Régis Stéphane OLLOMO ELLA

domaine de spécialité: Linguistique

Fonction officielle: Enseignant-Chercheur au Département des Sciences du Langage, Université Omar Bongo_Libreville et chercheur associé UMR 7206

 Adresse institutionnelle: Muséum National d'Histoire Naturelle / Musée de L'Homme-Paris

Membre du Centre de Recherche et d’Études sur le Langage et les Langues (CRELL).

Membre du Laboratoire des Civilisations à Traditions Orales (LACITO).

Téléphone: +24102498191

Régis OLLOMO ELLA est titulaire d’un Doctorat en sciences du Langage et didactique des langue à l’Université Paris3 Sorbonne Nouvelle & Muséum National d’Histoire Naturelle. Il occupe actuellement les fonctions d’Enseignant-Chercheur permanent à l’Université Omar Bongo (Libreville-Gabon) et de chercheur associé à l’UMR 7206 du Muséum National d’Histoire Naturelle.

Ses recherches portent sur la description linguistique des langues bantu,  et l’ethnolinguistique appliquée aux questions de littératures orale, de patrimonialisation, de catégorisation et des savoirs endogènes. L’objectif visé est démontrer comment la linguistique peut aider à comprendre le fonctionnements de sociétés africaines. Un accent est mis aussi bien sur l’étude des textes anciens disponibles dans les archives sonores que dans la collecte de nouveau textes. Il s’agit ensuite de ‘’dépiauter’’ la polysémie lexicale et syntaxique inhérente à chaque texte étudié. Chaque terme au niveau lexical et chaque texte au niveau syntaxique sont analysés afin d’en dégages la polysémie et d’isoler le sens profane du sens ésotérique.

Les images qui symboliseraient notre projet sont : 

 la harpes ŋgẅɛ̀mɛ́ (Image 1) et pluri-arc ndɔ̀ŋà (Image 2) en usage chez les fang avant l’arrivée du culte Bwiti au sein de cette communauté. Si aujourd’hui, chez les Fang, la harpe (appelé désormais Ngoma) n’est plus en usage que dans le Bwiti, les photos issues des collections muséales montrent que cette instrument appelé Nguèmè, était déjà en usage chez les anciens Fangs. On y retrouve des figurines sculptées proches de celles en usage dans le Byéri qui est le culte des ancêtres (Image 4),. 

 

Les mélodies collectées par Tessmann (Image 3)  (CF Furniss et OLLOMO 2021, à paraître) montrent qu’il s’agit d’un instrument funéraire. Les paroles du chant accompagnant la harpe indiquent qu’il s’agit d’un chant funéraire, exécuté par un orphelin, lors de la procession du cortège funèbre conduisant sa défunte mère à son lieu d’inhumation. 

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